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11 mai 2023 - Projection-débat

Ciné-débat : Le procès de Bobigny

Le Conseil départemental de l’accès au droit de la Haute-Garonne organise une séance ciné-débat à l’American Cosmograph autour du film "Le procès de Bobigny", en présence du réalisateur, François Luciani, de Madame le Bâtonnier et Monsieur le Vice-Bâtonnier ainsi que des Chefs de cour (Tribunal judicaire et Cour d’appel).

Informations pratiques

American Cosmograph
24 Rue Montardy, centre-ville de Toulouse
Les places sont à retirer à la caisse du cinéma dès le 29 avril.

Horaire

20:30

Tarif(s)
Gratuit, ouvert à tous

14e édition des Rencontres Ciné-Jeunes-Justice

Cette séance s’inscrit dans le cadre de clôture de la 14e édition des Rencontres Ciné-Jeunes-Justice, consacrée aux droits des femmes et à la lutte contre le sexisme, qui s’est déroulée du 3 au 21 avril 2023 dans les cinémas de la Haute-Garonne en partenariat avec la direction académique des services de l’Éducation nationale.

À la suite de la révocation de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour suprême des États-Unis, le 24 juin 2022, et des débats récents autour du projet de constitutionnalisation du droit à l’avortement en France, le Conseil départemental de l’accès au droit de la Haute-Garonne et l'American Cosmograph vous proposent de (re)découvrir l’incroyable combat politique et juridique mené par Gisèle Halimi il y a un peu plus de cinquante ans, devenu l’emblématique "Procès de Bobigny".

Le film de François Luciani revient sur le procès qui, en quelques semaines, a créé un mouvement d’opinion irréversible aboutissant à la révision de la loi de 1920 qui considérait alors l’avortement comme un délit.

Le Procès de Bobigny

Réalisateur : François Luciani

Durée : 1h28

Année : 2006

Pays : France

Distribution : Juliette Lamboley, Sandrine Bonnaire, Anouk Grinberg ...

Synopsis : En 1972 à Bobigny, Martine employée de la RAPT, aide sa fille Léa à interrompre sa grossesse à la suite d’un viol. Dénoncées, elles sont inculpées et vont être jugées. Martine s’adresse à la seule avocate dont elle connaisse le nom : Gisèle Halimi. L’avocate lui propose alors de faire de ce procès une affaire exemplaire pour cette injustice faites aux femmes : Martine accepte.