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13 décembre 2023 - Spectacle

Le silence de Nuit

"Le silence de Nuit" est une pièce de danse-théâtre jouée par 11 danseuses, 1 comédienne et Nuit, qui parle de la fonction sociale du handicap dans notre société. Spectacle accueilli en partenariat avec la mission Handicap de l'Université Toulouse - Jean Jaurès.

Informations pratiques

Lieu : La Scène, La Fabrique, Université Toulouse - Jean Jaurès
Métro ligne A, station Mirail Université

Accessible aux personnes à mobilité réduite avec fauteuil

Horaire

12:45 / 13:45

Tarif(s)
Gratuit, sans réservation, ouvert à tous

Je m'appelle Nuit, comme la nuit des temps

J'ai toujours été là, quelque part en vous, en moi...

Je m'appelle Nuit et je ne parle pas

Le handicap, une manière différente d’être au monde

« Le Silence de Nuit » est une pièce de danse théâtre qui parle de la fonction sociale du handicap dans notre société, mais pas que…C’est un récit poétique au réel qui invite à découvrir qui est Nuit, à travers son langage infra verbal, sa pensée édifiante bouscule, interroge, renoue avec le sensible.

Qui est en situation de handicap finalement ?
Si les mots ne sont qu’une part de la communication pourquoi le silence nous priverait il de nos sens et de notre compréhension de l’autre.Ce texte nous parle à plusieurs niveaux, il parle de nous tous et de nos impossibilités à pouvoir franchir la barrière du mental, des croyances et des jugements.

C’est aussi un hymne à la joie, à la résilience, le handicap n’est pas une tragédie il est une manière de contacter le vivant au plus près de soi sans concession. C’est un spectacle qui invite à se lever et à se mettre en mouvement.

PIÈCE CHORALE POUR 11 DANSEUR.EUSES

Spectacle pour la rue et en salle, "Le silence de Nuit " regroupe un collectif de comédiens, chanteuses, musiciens et danseurs réunis sous le nom de compagnie "Et Puis Aussi...".

La responsabilité artistique du projet est partagée par Mariane Helin, Nicolas Poirier et Mylène Souyeux : "La compagnie est née pendant cette période d’empêchements qu’a été le confinement. Nous avons eu besoin de ne pas nous plier, mais plutôt de nous relier, de rester vivants en créant. La danse était interdite à ce moment. Nous avons refusé le déshumanisme de la visioconférence. Nous avons osé franchir le pas. Ils ont été nombreux à répondre à notre appel, la création est née en flèche à partir de là."

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