Informations pratiques
Les Abattoirs,
Musée – Frac Occitanie Toulouse
76 allées Charles de Fitte
31300 Toulouse
Projection gratuite. Entrée au musée payante (tarif de l'exposition du moment).
Un événement recommandé par les Saisons étudiantes
Horaire
18:30 / 20:30
Les Jeudis des Abattoirs
Chaque jeudi, les Abattoirs réservent un accueil spécial aux étudiant.e.s. Une médiation spécifique animée par le guide-conférencier du musée à destination des étudiant·e·s est proposée sur les expositions en cours. Véritable rencontre avec les œuvres, ce rendez-vous est un moment d’échange et de partage.
À noter que plusieurs fois dans l'année, la visite du soir avec le guide est remplacée par un parcours conçu sur la base de lecture de textes philosophiques et littéraires par les étudiant·e·s des classes préparatoires littéraires du lycée Saint-Sernin.
Projection de film de la Cinémathèque
La Cinémathèque étant fermée pour travaux jusqu'en février 2026, la programmation se délocalise au Pathé Wilson (semaine) et dans l'auditorium des Abattoirs (vendredi, samedi, dimanche).
Exceptionnellement, un jeudi par mois, à 18h30, un film de cette programmation est projeté au Musée, en lien avec l'exposition du moment. Cette projection est gratuite pour les étudiants.
D’octobre à décembre 2024, Blow Up, Toute la beauté et le sang versé et Alice dans les villes seront les trois films qui entreront en résonance avec l’exposition « Ouvrir les yeux ».
Prochaines dates : jeudi 12 décembre .
Toute la beauté et le sang versé
"All the Beauty and the Bloodshed" de Laura Poitras (2022, USA, 117 min, VOSTF)
Quand l’art se mêle à la lutte. Deux films en un. Ou plutôt deux documentaires en un. La vie et l’œuvre de Nan Goldin, l’une des plus grandes photographes des années 1980-1990 et son combat contre la richissime famille Sackler, impliquée dans la crise des opioïdes qui touche les États-Unis depuis le milieu des années 2010. Un portrait multiple, intime, sociétal et historique, une traversée du milieu underground new-yorkais et le geste résistant d’une femme intègre qui ne baissera jamais les bras. Et l’on ne sera pas près d’oublier les visages figés des Sackler face aux familles des victimes.